Bonsoir,

CAPACITÉ SOUHAITÉE : Demi-Vélane
POURQUOI CETTE CAPACITÉ : (en quelques lignes seulement) C’est dans le scénario. Mais plus sérieusement, je trouve cette capacité simple, mais à la fois formidable puisqu’elle offre de nombreuses possibilités et plusieurs éléments pour pimenter un rp. Que ce soit du côté beauté irrésistible où on peut s’amuser à faire chavirer plus d’un cœur faible. Mais également le côté harpie lorsque l’énervement envahit. Faire peur aux autres face à la colère et la laideur d’une demi-vélane. Certes, il faut certainement beaucoup énerver Brionie pour réussir à faire sortir ce côté démon d’elle, mais je serais amusée de le mettre en pratique peut-être une fois.
RP EN SITUATION : (afin que nous jugions de l'utilité de votre don, nous vous demandons un RP dans lequel votre personnage en fait usage. A vous d'en juger la longueur, la qualité primant sur la quantité) écrire ici.

Une chevelure aussi claire qu’un jour de moisson dans les champs de blé, un regard clair pénétrant dont l’éclat d’azur brille avec intensité. Un sourire dont on cède facilement, dès que les lèvres remuent et que cette voix douce et fluette demande une requête. Un physique fin et élancé, une démarche gracieuse comme si elle flottait à quelques centimètres du sol. Brionie est ainsi décrite par beaucoup de mondes. Jalousée par les femmes, désirée par les hommes. Par moment, elle aime à penser, comment serait-elle si sa nature de Demi-Vélane n’avait pas influencé sa beauté. Serait-elle aussi blonde ? Aussi grande et fine ? Aurait-elle des yeux comme les pierres lapis-lazuli ? Certainement pas, et bien qu’elle ressemble beaucoup à sa mère, leur beauté est différente. Celle de Brionie est plus enchanteresse, plus démoniaque tant elle attire. Ce n’est pas facile à supporter, par moment même plutôt agaçant. Car Brionie ne sait jamais si c’est sa beauté qui attire ou son caractère. La sincérité est-elle profonde ou n’est-ce qu’une illusionnée bernée par son physique. Il lui suffit de repenser encore à ses premières années à Poudlard, et l’influence qu’avait sa nature sur les autres. Un sourire étire ses lèvres fines, les souvenirs remontant à sa mémoire.
Une lourde journée de cours allait bientôt débuter pour la jeune Poufsouffle. Et pas des matières qu’elles aimaient principalement. Deux heures d’Histoire de la Magie, un cours certes intéressant, mais tellement barbant. Le professeur Binns est tellement soporifique que la jeune fille se félicitait de pouvoir terminer sa nuit sur son pupitre. Après s’être préparée en laissant sa longue chevelure dorée étinceler dans son dos, la demoiselle se rendit dans la grande salle pour prendre son petit-déjeuner. Comme chaque matin, ses amies l’attendaient, car elle était souvent la dernière à faire son apparition. Non pour se faire remarquer, mais surtout parce qu’elle aimait flemmarder dans son lit jusqu’au dernier moment. Être convoité par beaucoup de garçons n’est pas un élément important dans la vie de Brionie. Elle s’en passerait bien. Elle préfère se concentrer sur ses études, primant avant tout. Cependant, certains matins sont difficiles comme celui-ci. Presque en traînant des pieds, la classe de Poufsouffle en commun avec les Serpentards prend place. Brionie s’affale sur le bois et ferme les yeux. C’est en sursaut qu’elle se réveille, une main sur son épaule pour lui signaler la fin du cours. Encore dans le coton, Brionie quitte la grande salle après le déjeuner pour aller à son cours de défense contre les forces du mal. Perturbée depuis le matin, elle a oublié son devoir. Les joues rouges de gène, la demoiselle redresse le visage vers son professeur lorsqu’il vient récolter les parchemins de ses élèves. « Excusez-moi Professeur, mais j’ai oublié mon devoir dans mon dortoir. » Le Professeur n’étant pas connu pour apprécier les retards, plisse des yeux comme lorsqu’il s’apprête à pousser sa remontrance. Mais Brionie reste une demi-vélane et par moment, lorsque cela l’arrange, elle usait de son don. Jamais pour de mauvaises actions, mais une mauvaise appréciation risquait de nuire aux bonnes notes qu’elle cumulait. Ainsi, Brionie prononce d’une voix doucereuse, comme si elle souhaitait amadouer une créature sauvage. « Professeur, je suis sincèrement désolée de cet oubli. Pouvez-vous, je vous en prie, m’accorder un délai de deux heures. Le temps d’aller le chercher à la fin du cours et de revenir vous le donner. C’est la première fois que cela m’arrive… » Clignant presque des paupières, un sourire timide aux lèvres, Brionie faisait usage de sa beauté ravageuse pour séduire son professeur. Et cela fonctionna. Il céda.
Brionie perd son sourire en soupirant. Être une demi-vélane n’est pas qu’avantageux et de nombreuses autres péripéties pourraient le reporter. Comme la seconde fois où elle a fait usage de son don, hélas c’est comme utiliser de la magie dans les couloirs. Brionie ne doit pas l’utiliser contre le corps professoral. Elle s’en souvient encore aujourd’hui. Haussement d’épaules, que de souvenirs de ce don que mère Nature a fait bon de lui offrir.

Voilà, merci par avance  

Don accepté, j'ai beaucoup aimé ton RP, fais-en bon usage :D

Merci beaucoup, j'en prendrais soin, promis  

Bonsoir.

CAPACITÉ SOUHAITÉE : Occlumancie
POURQUOI CETTE CAPACITÉ : Exéore est un descendant de la dynastie des Nott. Qui dit Nott dit famille de sang-purs de génération en génération, irréprochable et d'une façade parfaite. Mais, malgré le fait que l'intérieur n'en soit pas aussi reluisant que ce qu'ils montrent, l'homosexualité reste un tabou. Un tabou que jamais il ne faut nommer. C'est pourquoi Exéore est assez mal tombé. Lui, qui apprécie bien plus les garçons que les filles, se retrouvent dans une famille aux dogmes ancestraux et quasiment inchangeable. L'occlumancie lui est indispensable, vitale pour ne pas mourir de honte, ou mourir tout court.
RP EN SITUATION :
La journée avait été éprouvante. Exéore avait du travailler dur pour rendre un dossier épineux sur une affaire de disparition. Chaques pièces à conviction avaient du être examiné au peigne fin pour trouver un semblant de preuve de culpabilité de l'accusé. Mais, quoi qu'il en soit, Exéore avait fait son travail, comme toujours, dans la plus grande discrétion et la plus grande subtilité. C'était un homme doux, docile, affectueux, calme, posé. Mais, l'anneau qu'il avait autour de l'annulaire gauche voulait dire deux choses: il n'était plus à prendre et il aimait une femme. Une femme. Quel drôle d'idée. Ces êtres perfides n'étaient absolument pas la tasse de thé du jeune Exéore. Mais ça, personne ne le savait vraiment.
Il était 17h30. Nott quitta son bureau et se dirigea vers une petit immeuble exigu dans Londres. Il sonna; Deux fois. On lui ouvrit la porte. Il monta les escaliers. Les 3 étages. Et il toqua à une porte, marqué "309A" en ferrure plaquée or. Clic. La verrou sauta. Il empoigna la poignet et ouvrit subitement. Il sauta aux lèvres de l'être qu'il avait imaginé à chaque instant de sa journée. Midaël. Midaël Gatsby. L'être qu'il chérissait tant n'était autre qu'un homme. Qui plus est, se trouvait être son adjoint au boulot. " Dix-huit minutes que je n'avais pas vu ton visage, tu me manquais atrocement.". Les lèvres du jeune Midaël se fendirent d'un sourire presque niais et il reprit possession des lèvres de son amant. Il le tira vers les, s'amusa à balayer son corps de ses mains, redécouvrant chaque parcelle de peau. Les habils tombèrent rapidement, la tension montait entre les deux êtres dont émanait une chaleur bestiale. "Je te veux.". Ces mots eurent un effet non-négligeable sur Exéore. Il lui fit un petit sourire, le retourna et l'obligea à s'allonger sur le lit, face contre terre. Les choses sérieuses allaient commencé.
Les amants terribles reprirent leur souffle, pendant une bonne dizaine de minutes. L'effort physique avait, encore un fois, été éreintant. Exéore passait sa main sur le torse du jeune Midaël, comme s'il le redécouvrait à chaque caresse. L'Amour. "Il va falloir que l'on soit précautionneux, Mida. Nous ne pouvons pas continuer impunément." "Il suffit que personne ne le sache. Et comme je ne dirais rien.. Libre à toi de le garder pour toi.". Exéore lui sourit et se hissa vers lui pour l'embrasser tendrement. " Tu es un ange. Mais, j'ai entendu parlé d'une technique de torture consistant à fouiller dans les souvenirs des gens.. La légimancie, est-ce bien ça?" " Il te suffirait d'apprendre à bloquer ton esprit et nous n'aurions plus aucun problème, mon amour. ". Exéore eut une tête bizarre. Ces sourcils étaient froncés, mais un sourire béa fendait son visage en deux. " Comment ça, bloquer son esprit? Tu pourrais m'apprendre? ". Silence. " Tu empêches les légilimens de rentrer dans ta tête. Je peux t'entrainer, mais la plus grosse partie viendra de toi. Tu veux qu'on essaye? " " Oui, je veux que tu me l'apprennes. Mais d'abord, habilles-toi. Je ne pourrais pas me concentrer si tu restes en tenue d'Eve.". Midaël se releva en rigolant et passa son caleçon large et sa chemise, mollement boutonné. Il alla chercher sa baguette magique et s'asseya non loin de son dulciné. " Ok. Alors, maintenant, essayes de contrer mes attaques par la force de ton esprit, par ta volonté de garder tes idées bien secrète." "Quoi de plus facil..". Et c'est alors que Midaël lança le sort. Et c'est alors que l'épreuve commença. Exéore tentait, sans réussir, à contrer les attaques du jeune homme, qui visitait ses plus profonds souvenirs. Il passait en revu son enfance, sa scolarité à Poudlard, et puis plus précisément, les souvenirs qu'il avait avec sa fiancée. C'est en pensant à ce qu'il pourrait voir qu'Exéore commença à barrer le chemin à Midaël. Evidémment, il avait des devoirs envers sa fiancée, mais jamais il n'aurait voulu que son amant soit au courant. C'est pourquoi, il tenta d'occulter les nuits passées avec elle. Il réussit, un temps. Puis, il flancha pendant l'espace d'une demi-seconde. Midaël eut le temps de voir les ébats passionnés entre la blonde et Exéore. S'en fut trop. "Midaël, arrêtes!". Ce dernier ne se fit pas prier. Il ne pipa mot, effaré de ce qu'il venait de voir. " J'y suis obligé Mida, tu peux le comprendre? J'ai des devoirs envers elle, envers ma famille..". Sans même déserrer les lèvres, le brun en face de lui re-lança son sort, et farfouilla dans les souvenirs récents d'Exéore. Il lui renvoya à la figure les nombreuses fin d'aprèm qu'ils avaient passé au lit ensemble. Puis, il arrêta. " Tu as envie que ta famille tombe sur ça?". Rien qu'à l'idée de se retrouver confronté à ses parents, Exéore eut des frissons, mais les avoir en face de lui et qu'ils apprennent que leur fils n'est pas normal méritait la peine de mort. Exéore lui dit que non. " Alors, imagines que je suis ton père et que je veux farfouiller ton esprit parce que Lavinia a des doutes sur ta fidélité. Pares-toi." La simple image de son père en face de lui le terrifiait. Il ne pouvait penser à autre chose qu'à ses yeux vert impassibles et toujours ronchon, d'une sévérité maladive et d'une droiture implacable. Il se remémorait ainsi la plus belle gifle que lui avait donné son père. Un matin de Mai, alors qu'il avait 12 ans, et qu'il s'amusait à grimper aux arbres du domaine, pour récupérer des fleurs pour sa mère. " Exéore? ". Le son de la voix de Midaël lui paraissait étranger tant il avait peur de son propre souvenir. Mais, le sourire calme et souriant de son amant le ramena à la réalité. " Oui, pardon, vas-y, je suis prêt. " " J'ai déjà lancé le sort, pendant 2 minutes. Je n'ai pu voir aucun de tes souvenirs. C'est bon. Il te suffit de penser à ton père pour contrer toute attaque extérieure. ". Et Midaël s'approcha de lui pour l'embrassait.
Exéore était soulagé. Soulagé et heureux. Il pouvait continuer à voir son amant, et il pouvait faire bonne figure devant sa famille. Tout était parfait. Et ainsi, Midaël n'apprendrait jamais qu'Exéore devait se marier dans le mois, avec Lavinia Malfoy. Il l'apprendrait le jour même.

Don accepté, c'est une utilisation intéressante de ce don, je valide :D

Merci beaucoup ♥ je continue ma fiche dans ce cas!

CAPACITÉ SOUHAITÉE : Légélimens
POURQUOI CETTE CAPACITÉ : (en quelques lignes seulement) À la base c'est dans le scénario, mais surtout, parce que cette capacité colle à Xélénia comme sa peau colle à son corps. Ça lui permet de pratiquer son métier, ça ajoute à ce qu'elle est, ça devient même un peu ce qu'elle est par moment. Lénia ne peut exister sans ce don puisqu'elle ne peut être aussi crédible et ne pourra pas faire tomber ceux qu'elle veut voir tomber... les sang-purs.
RP EN SITUATION : (afin que nous jugions de l'utilité de votre don, nous vous demandons un RP dans lequel votre personnage en fait usage. A vous d'en juger la longueur, la qualité primant sur la quantité)

Lénia avait treize ans, elle était dans un petit coin du couloir où personne ne pouvait la voir, mais elle, elle voyait tout. Rien n'échappait au regard de requins de la jeune femme, elle était ignorée par beaucoup puisqu'elle était née-moldue, mais elle n'ignorait pas les gens, surtout pas. Elle les observait avec son regard, elle avait un don pour la déduction, pour voir les attirances, pour entendre ce que personne n'aurait dû entendre, elle était toujours là, un peu dans l'ombre. La jolie brune eu donc l'idée de se partir une petite colonne sous le nom d'Aphrodite, elle en profitait pour raconter tous les potins de tout poudlard, les grands et les moins grands y passaient et les sangs purs aussi, tout comme les né-moldus, personne n'était à l'abri de la jeune femme qui adorait épier les gens et surtout rapporter leurs moindres faits et gestes. Ce qui faisait de sa colonne une colonne populaire c'était bien la crédibilité de celle-ci, Lénia mettait le doigt dans le mille, à tous les coups, elle y arrivait, ou presque, bien sûr elle avait ses faux pas, mais rien pour la discrédité aux grands regrets de ses victimes adorées. À Poudlard, elle a passé toutes ses années à rapporter, à écrire sur les gens sans jamais être découverte, il était facile de savoir si une rumeur était fausse ou véridique, rien de bien complexe, les élèves étaient peut-être des sorciers, mais ils étaient des adolescents rien de plus, rien de moins, bref, rien de bien complexe pour une Serdaigle comme Lénia qui n'avait que ça à faire, épier et rapporter.

En sortant de Poudlard, la jeune femme se dirigea bien sûr, vers le journalisme, quoi d'autre? Elle voulait continuer d'observer, d'épier et surtout, de rapporter. Lénia n'était pas simplement voyeuse, elle aimait dire aux gens ce qu'elle voyait, elle aimait faire éclater les scandales, voir des vies se déconstruire grâce à deux petites phrases, ses victimes préférées? Les sang purs, ce qu'elle aimait sortir leur secret, mais ils ne sont pas de simples adolescents, de la simple observation et du bouche-à-oreille ne suffiraient pas à Xélénia pour les faire tomber de sur leur piédestal, il lui fallait plus, toujours plus, pour tous les faire tomber comme des mouches. Lénia entreprit d'apprendre la Légilimencie, elle n'avait pas de professeur, elle ne faisait pas vraiment confiance aux gens, il faut dire quand on commère sur tout le monde, il est difficile de croire que les gens n'ont rien à cacher et la jeune femme a toujours tendance à tenter de découvrir ce que les gens lui cachent. Après plusieurs mois, Lénia a réussi à entrer dans la tête de quelqu'un, quelqu'un de volontaire par contre. Si Lénia veut avoir le plus de commérage possible, il lui faut des sources, mais elle refuse de croire tout ce qu'elle entend, elle se doit de vérifier et pour une fois, elle pourrait vérifier sans prendre deux semaines de son temps pour observer et compiler. Bien sûr, un être volontaire était plus simple qu'un être non volontaire à la percée de son esprit. Lénia mis donc encore quelques mois avant de réussir à percer l'esprit de quelqu'un qui ne le voulait pas vraiment, elle a commencé par des victimes assez faciles, comme son patron à la gazette des sorciers, ce n'est jamais de trop d'être au courant des affaires de ses patrons, un jour elle voudrait peut-être une deuxième page à la place d'une troisième. Lénia à force de se pratiquer sur des victimes de plus en plus complexes à fini par devenir une as à ce petit jeu, bien que certains sangs purs lui reste encore hors d'atteinte, elle est loin d'être la plus puissante des légilimens, elle réussit tout de même à s'introduire dans les parties les plus intimes des gens qu'elle veut faire tomber, et ce, sans aucune petite dose de gêne. Si aujourd'hui la renommer de la colonne de la jeune femme est aussi solide c'est bin grâce à se dont, qui fait en sorte que tout ce qu'elle écrit est véridique, que vous vouliez le croire ou non et c'est sang-purs, elle les fera tomber. Lénia compte bien avoir tous les atouts qu'elle peut avoir en main pour combattre dans cette guerre qui approche et elle refuse de voir les sang-purs gagner, ils reposent sur leur crédibilité, leur statut, elle c'est donné pour mission de détruire cette image, de les détruire eux. Bien sûr, il y a un prix à tout ça, Lénia n'a pas vraiment d'amis proches, étant incapable de ne pas s'infiltrer dans leur tête un jour ou l'autre, de les nommer dans sa colonne, elle ne fait pas confiance, elle est terriblement seule, mais avec les pensées des autres.

J'aime beaucoup l'approche, j'accepte volontiers :D
(Attention pour l'avenir, j'ai remarqué quelques fautes d'orthographe, essaie de te relire.)

anhhhhh merciiiii :D j'étais tellement stressée de poster une demande ça pas dû aider XD
bref merci :D