MAIS QUI EST-CE ? mère de james potter.

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NOM : son premier nom est duval, elle le tient de son père ayant des origines françaises. son second nom de famille est potter, elle le porte depuis son mariage avec midas potter. PRÉNOMS : aurore, un prénom français rappelant ses origines paternelles et nymphea. ÂGE : vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : née le douze mai mille neuf cent vingt-et-un à nice, en france. GROUPE : we are both. STATUT DU SANG : sang-mêlé. ANCIENNE MAISON : ses études se sont déroulées à beauxbâtons, une école de magie française. EMPLOI : professeur de sortilèges à l'école de sorcellerie de poudlard. STATUT CIVIL : mariée à midas potter. DON/PARTICULARITE MAGIQUE: aucun.

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toi le moldu PSEUDO/PRÉNOM : KATH. ÂGE : dix-huit ans. CONNEXION : six jours sur sept. AVATAR : jennifer lawrence. CRÉDIT : gif by tumblr, icon by mistaken. AUTRE CHOSE ? le forum est magnifique ♥.

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 Un sourire se dessine sur mes lèvres, formant un léger rictus apaisant et sincère. Quelques élèves passent devant moi, certains me saluent d'un signe de tête amical. Ajustant ma chevelure avec soin, j'avance dans le couloir, mes talons claquant contre le sol dans un rythme précis et cadencé. C'est en traversant ces lieux que des souvenirs reviennent à la surface. Des souvenirs de mon enfance, de mon éducation. Depuis toute petite, j'ai appris à être généreuse et altruiste, quoiqu'un peu trop discrète. Mon éducation a toujours été à la fois stricte et agréable, mes parents mêlant à la perfection ces deux extrêmes. Etant le fruit de l'union de deux cultures, je ne peux qu'allier l'élégance française à la discipline anglo-saxonne. Depuis ma plus tendre enfance, je côtoie la magie comme si tout était absolument naturel. Pourtant, quelle surprise ce fut, lorsque j'ai découvert que moi aussi, je pouvais l'utiliser. Même si j'étais habituée à voir mes parents utiliser leur baguette magique, je ne m'imaginais pas pouvoir en faire autant. Dès ce jour, tout changea radicalement. Vivant en France depuis ma venue au monde, j'étais destinée à suivre une scolarité à l'école de magie de Beauxbâtons. Cette école est extrêmement réputée pour son règlement stricte, notamment pour l'uniforme, mais aussi pour les manières de vivre imposées. Le respect, la délicatesse, et l'élégance. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ma scolarité fut relativement compliquée. Pas au niveau de l'apprentissage, mais principalement du côté relationnel. Bien vite, je fus l'objet de moqueries récurrentes. Souffrant beaucoup de cette attitude devenue habituelle, ma vie à Beauxbâtons fut difficile. Timide de nature, il m'était incroyablement difficile de m'intégrer, mais aussi de parler avec les autres. Malgré ce manque de confiance en moi, mes notes étaient absolument brillantes, et ce, certainement grâce au projet qui me tenait à cœur ; devenir professeur dans la célèbre école de sorcellerie de Poudlard.

« Bonjour, professeur Potter. » me lance une voix ferme, et confiante. Mon regard se porte sur la personne en question, un élève de sixième année. Un sourire se dessine sur le coin de mes lèvres, tandis que je fais un léger signe de tête à l'égard du jeune homme. « Bonjour, monsieur Bingley. » Ma voix se veut fluide et mélodieuse. Le jeune homme me regarde, me rendant ce sourire chaleureux. Son regard se porte sur mon visage, et se veut presque insistant. Une chose pouvant rapidement me mettre mal à l'aise. « Y'a t-il quelque chose dont vous auriez aimé me parler ? » Le jeune homme hoche la tête, et me lance à nouveau un léger sourire amicale. Bien rapidement, il tourne des talons, en baissant les yeux. Levant un sourcil, je vois sa silhouette se perdre dans la noirceur du couloir. Inévitablement, son attitude me rappelle la mienne, quelques années plus tôt. Pourtant, depuis ma sortie à Beauxbâtons, je ne cesse de faire des efforts afin d'être plus détendue. Attitude saluée par mon mari, qui ne peut s'empêcher de me pousser à être plus loquace. C'est très certainement depuis notre rencontre que ma vie a changé du tout au tout. En repensant à cette journée, un sourire se dessine sur le coin de mes lèvres, alors que je continue ma marche, un peu plus lente que tout à l'heure. Pendant un instant, j'ai l'impression de revivre cette scène, et de me trouver au beau milieu du Chemin de Traverse. Cette longue allée bondée de monde, pleine de boutiques en tous genres. Alors que je marchais, me faufilant avec peine dans la foule présente ce jour là, un jeune homme est apparu en travers de mon chemin. Ayant la tête baissée, je ne l'avais pas vu, et c'est inévitablement que nous nous sommes heurtés. D'une voix douce et rieuse, l'homme me conseilla de faire plus attention la prochaine fois. Et c'est en déposant mes yeux dans son regard, que tout a changé. Dès lors, une sorte d'attraction s'installa, pour ce jeune homme au regard de braise. Aucun jour ne passa sans nous voir, ressassant sans arrêt cet instant ; ce moment qui lia nos vies à jamais, qui nous emmena jusqu'au jour de notre mariage.

Mes talons continuent de claquer contre le sol, dans un rythme précis, me ramenant rapidement à la réalité. Ce métier de professeur de sortilèges me tient réellement à cœur, puisque j'ai mis plusieurs années à l'obtenir. Et fort heureusement, car si jamais j'avais occupé ce poste dès la première fois, alors je n'aurais certainement jamais rencontré Midas. Car si je me trouvais au Chemin de Traverse ce jour-là, c'était avant tout parce-que j'y travaillais depuis quelques temps, essayant tant bien que mal de gagner ma vie. Et à présent, mon mari et moi travaillons au même endroit, à Poudlard, en tant que professeurs. Une idée légèrement saugrenue, pour une personne aussi timide et solitaire que moi. Si j'avais eu à occuper le poste de professeur quelques années plus tôt, jamais je n'aurais pu tenir. Pourtant, c'est ce métier que j'ai toujours voulu faire ; les cours de sortilèges étant ceux dans lesquels je m'investissais le plus, il m'était obligatoire d'en faire mon métier. Mes yeux se dirigent vers l'extérieur, et se déposent sur les jardins. Quelques élèves s'y trouvent, dont certains qui ne me sont pas inconnus. Jamais je n'aurais imaginé pouvoir parler devant une trentaines de personnes, accrochées à mes lèvres pendant plus d'une heure. C'est grâce à cette prise de confiance que j'en suis capable, mais aussi grâce à mon mari. Midas étant également professeur, il m'a toujours aidée à surmonter les épreuves, et à devenir un peu plus confiante. Malgré quelques rechutes, je m'efforce toujours de garder la tête haute, dans toutes situations, afin de ne plus me laisser marcher sur les pieds. Pendant de longues années, j'ai souffert de ce manque de confiance en moi, et de cette timidité si présente. Mais grâce à Midas, mais aussi à mes amis, j'ai su surmonter ces difficultés.

De loin, je distingue une silhouette féminine, aux courbes parfaites, et à la chevelure brune relâchée, descendant en cascade. Lucretia Prewett, une jeune femme que j'ai rencontré en arrivant à Poudlard. Bien vite, nous avons sympathisé, et aujourd'hui nous ne pouvons passer une journée sans nous parler. C'est grâce à des personnes comme elle, que j'ai appris à devenir plus forte, et plus sure de moi. Marchant d'un pas décidé, je m'engouffre dans mon bureau. Un coup de baguette déposé contre la porte d'entrée, les chandelles s'illuminent, donnant un aspect chaleureux à la pièce. La décoration se veut simple, et accueillante, reflétant au maximum ma personnalité. Les couleurs neutres de la pièce donnent un effet de grandeur, et mettent le bureau en valeur. Le meuble est fait d'un bois clair, et est particulièrement bien rangé. Depuis toute petite, j'ai pour habitude d'ordonner les choses, afin de m'y retrouver plus facilement. Quelques dossiers se trouvent de ci de là, classés selon un ordre qui m'est propre. Une large chandelle se trouve sur le côté, une légère flamme rougeâtre dansant au sein d'un petit cône de verre. Un parfum aux teintes sucrées flotte dans les airs, tandis que quelques flammes se forment dans la cheminée, au contact de ma baguette magique. L'atmosphère légère et sereine des lieux suffit à me reposer, et à faire en sorte que je me sente bien. Difficile de croire que Poudlard est menacé de toutes parts, par des événements inquiétants..